lundi 17 décembre 2012

hommage à Offenbach









Offenbach fut pour moi le premier phare qui me signala la musique dite classique. Joie, mouvement, mélodies, harmonies efficaces et parfois subtiles. Ironie politique, un peu commentateur de l'actualité, moraliste en négatif, il donne un peu de superficiel comme pommade sur nos coeurs épris d'absolu. Combien de fois, ne m'a t'il pas consolé ? Me poussant à me moquer de la vanité et à participer aux merveilleux mouvements de vie que compose notre existence... Souffrant peut être de la faible considération de son art, il composât à la toute fin de sa vie l'oeuvre (à peine achevée) des contes d’Hoffmann, méditation sur l'art, l'amour et le double diabolique. Méditation romantique sur l'échec de nos vies provoqués par le rival insaisissable  et sur le salut par une spiritualité artistique, une foi en la solitude de l'artiste. Romantisme...certainement...




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