Je suis heureux d'avoir trouvé cette petite perle. La lumière est jolie, les chanteuses sont gracieuses, Offenbach est inspiré.
Offenbach encore aime à se jouer des codes. Un homme est dans la chambre de la femme et le mari va rentrer.... Mais cette fois ci, c'est la femme qui découvre l'amant dans le placard (il vient de la cheminée après une courte poursuite...). Et s'ils s'enferment dans leur chambre avec la témoin de la mariée, ce n'est pas pour cacher un amour interdit mais pour tenter de sauver l'honneur de la jeune mariée qui est innocente de toute cette situation. Tout finit bien mais nous nous serons préalablement moqué des mariés, des bourgeois et le cocu bourgeois, par intermédiaire de la référence de Georges Dandin), est bien vilipendé malgré tout... Le triangle amoureux connait des variations inespérées.
5,40 : duo des femmes
11,35 : Valse de Rosita
20 Trio de la rencontre
32,28 Quatuor
43,30 trio de la mort certaine
47,30 quatuor final
J'aime beaucoup aussi cet extrait espagnol, il assume mieux, je pense l'aspect déjanté de cette opérette.
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